Bonjour à toutes et à tous
[IG]
Je me présente Skode Pandawa de cercle de puissance ( Faiblesse Ouais é_é ) 45 ( En une journée pas mal , Non ? ) , Je joue aussi d'autres personnages Comme un énutrof 120 un Iop 150 et pour finir un Sacrieur lv 145
[IRL]
Bonjour ; Je m’appelle Corentin , J'ai 16 ans Je suis en Première S ( On s'en fou é_é ) Mes autres loisirs sont : Le Skate ; La batterie ;La guitare . Je possede aussi skype é_é
[MOTIVATIONS]
J'aimerais rentrer dans votre guilde Car Beaucoup de personne parle en bien de votre guilde, actuellement je suis dans une guilde d'ami où les personnes sont connectés plutôt le soir voir la nuit, je recherche donc une guilde avec de l'ambiance, avec quelques sorties marrantes même pour aider les personnes.
C'est pour cela que je me présente chez vous.
[RP]
Skode naquit à Astrub
D’une mère Osa et d’un père Sacri
Très tôt il découvrit la peche
En fumant le chanvre de la prairie,
Ce qui ne lui valu qu’un mal de crâne carabiné
Et de la part de ses parents une bonne fessée.
Une fois maître dans ce métier
Il se dirigea vers les bâtons
Dont il commença à apprendre comment les tailler
De manière à ramener quelques kamas à la maison.
Son amour des marteaux
Naturellement lui vint,
Lorsqu’il écrasa de son Toh’Lo
Un malchanceux Bulbilin.
Au feu très jeune il fut dédié
Du fait de son manque d’agilité.
Mais toute moquerie refusant
Il laissa le premier Pandawa désobligeant
Seul, derrière lui, sans ses dents
Et son corps concasser dans une mare de sang.
Il eu la chance de rencontrer
Un Féca l’empêchant de mal tourner,
Ce-dernier lui appris toutes les ficelles
Lui permettant d’élever à 51 son level.
Lors d’une visite il se dévoua
A la grande cité de bonta,
Dont il quitta plus tard l’allégeance
Pour suivre ses propres déviances.
Ayant côtoyé des guildes différentes,
Il décida de se stabiliser
Et dans la guilde Nocturne eu l’envie de postuler
En sachant qu’elle représentait ses attentes,
C'est-à-dire une guilde où la puissance
Ne régirait pas la bonne ambiance
Et où l’entraide se substituerait
A l’individualisme sous lequel Amakna pliait.